Hoyle Holder (floormatch42)
En l’absence de molécules anti-virales spéci¬fiques, le traitement reste, à l’heure actuelle, principalement symptomatique. Force est de constater que la pandémie de COVID-19 est plus difficile à contrôler que ce que les premières données ne laissaient présager. L’élément clé face au SARS-CoV-2 est de limiter sa transmission. Les mesures de prévention reposent, principalement, sur l’application de mesures d’hygiène des mains adéquates et la désinfection de l’environnement, ainsi que sur des mesures de distance sociale visant à limiter les contacts dans la population et à protéger les populations à risque.in English, French Nous rapportons le cas d’une patiente de 47 ans explorée pour un syndrome inflammatoire inexpliqué et une asthénie chronique. Les examens en imagerie démontrent la présence d’importants remaniements osseux au niveau du périoste des deux fémurs et tibias, évoquant une maladie d’Erdheim-Chester. Celle-ci est confirmée par l’analyse d’une biopsie ostéomédullaire réalisée au niveau du fémur gauche. La détection de la mutation V600E du gène BRAF permet à la patiente de bénéficier d’un traitement ciblé anti-BRAF et anti-MEK, améliorant sa symptomatologie.in English, French L’aniridie post-traumatique est une complication peu fréquente d’un traumatisme oculaire à globe fermé. Lorsqu’elle est complète, il s’agit d’une déchirure sur 360° de la racine de l’iris à son insertion au corps ciliaire. Depuis l’avènement de l’utilisation de micro-incisions cornéennes en chirurgie de cataracte, la déchirure complète de la racine de l’iris a été observée sur plusieurs patients ayant subi un traumatisme violent. Nous rapportons le cas d’un patient, opéré de cataracte 15 ans auparavant, qui présente une aniridie complète suite à une chute.in English, French Le traitement de la thrombose veineuse profonde des membres inférieurs comprend trois étapes le traitement initial qui inclut les 5 à 21 premiers jours, le traitement au long cours qui dure 3 à 6 mois et un éventuel traitement prolongé, d’une durée non définie. Après 3 à 6 mois d’anticoagulation, se pose le problème de l’arrêt éventuel du traitement ou de la réduction de posologie. Evaluer le risque de récidive à l’arrêt du traitement est parfois une gageure en cas de maladie thromboembolique non provoquée. De même, l’évaluation du risque hémorragique peut être difficile. La décision doit donc être personnalisée et réévaluée régulièrement. Dans la mesure du possible, elle doit aussi tenir compte des préférences et du mode de vie des patients (sports à risque, sédentarité, observance,...). Des études ultérieures sont nécessaires afin de mieux évaluer les risques individuels et d’adapter la prise en charge.in English, French Nous présentons le cas clinique d’une femme âgée de 73 ans se présentant au service des Urgences avec une compression de la moelle épinière secondaire à une lésion de masse au niveau de la vertèbre T2 et nécessitant une intervention chirurgicale d’urgence. La lésion est compatible avec un carcinome papillaire de la thyroïde. La patiente avait bénéficié d’une thyroïdectomie dans un contexte de goitre multinodulaire 6 ans auparavant. Une relecture de la pièce anatomopathologique confirme la présence d’un carcinome papillaire de la thyroïde non diagnostiqué au départ.We synthesized a series of novel alicyclic compounds by modifying 1,5-anhydro-d-glucitol with two to four palmitoyl chains, and we explored their self-assembly and gelation behaviors in paraffin. The obtained organogels were studied by field emission scanning electron microscopy, atomic force microscopy, variable-temperature Fourier transform IR spectroscopy, X-ray diffraction analysis, polarized optical microscopy, and transmission spectroscopy. While all the palmitoylated derivatives spontaneously formed fibrous networks and gelated the paraffin, an acetylated derivative of 1,5-anhydro-d-glucitol did not gelatinize the solvent, thus indicating the importance of aliphatic chains for gelation. I