Deleuran Lim (canlier0)
Après l’obtention de mon premier diplôme universitaire, j’ai décidé que j’allais alterner petit taf et étude pour subvenir à les besoins. Pour moi, l’idéal pourrait être de trouver un petit stage de 3 à 6 mois dans une grande entreprise, mais vu le nombre de nouveaux diplômés, c’était perdu d’avance. Pour booster mes chances de décrocher un stage ou un job, j’ai décidé d’envoyer diverses demandes de stage et d’emploi dans plusieurs entreprises. Après un long mois d’attente, l’une des entreprises a finalement fini par me demander l'aide. site Internet pertinent , il y avait un poste de libre qui correspond parfaitement à mes connaissances. Ne connaissant que dalle de l’entreprise, j’ai quand même décidé de m’y rendre. À ma plus grande surprise, c’était 1 call-center à la recherche de télé-conseillers qui plus est. Mon connaissance en tant que télé-conseiller Avec mon diplôme de management d’entreprise, je savais que la place de télé-conseiller à Lens ne me correspondait pas vraiment, mais vu que c’était bien payé et que c’était le premier job qu’on m’offrait, je me suis dit que je devais l’accepter. Durant les deux semaines de formation, moi et les nouveaux recrus étions cloitrés dans une salle formation. On était six mecs et une fille et seuls quatre d’entre nous allaient être choisis à la fin de la formation. En tant que mec, je me suis directement intéressé à Nikki, la fille, très parfaitement foutue. Je ne savais jamais ce qui m’attendait niveau femme une fois intégré dans l’entreprise, du coup j’ai décidé de me lancer à la chasse avant les autres. Rien que pour avoir son 06, j’ai dû inventer des tonnes d’excuses. Une semaine après la formation, Nikki m’envoya un texto me demandant si j’ai été contacté par l’entreprise. Comme un con, je me suis mis à analyser longuement son texto à la recherche d’un signe d’attachement, mais rien, déception. Apparemment, elle a été choisie et moi aussi puisque j’ai reçu un appel une demi-heure après le texto. Le lendemain, on s’est donné rendez-vous concernant se rendre ensemble au boulot. Au début, je pensais que c’était une très solide idée d’y aller ensemble, mais une fois que j’ai franchi la porte de la salle où on allait travailler, j’ai d'emblée regretté. Plusieurs meufs, il y en avait partout et elles étaient toutes jolies. J’ai carrément oublié l’existence de la fille « bien foutue » avec qui j'habite venue. Notre call-center, parfait pour nos rencontres coquines Tous nos mecs, à l’exception des gays l’affirmeront, la majorité des filles qui travaillent dans les call-center sont des vraies allumeuses lesquels méritent d’être punies. N’ayant aucune connaissance en drague et nul , je me suis évoqué que c’était perdu d’avance, je ne baiserai aucune d’elles, aussi nullement Nikki. Je ne connaissais rien aux meufs puisque je n’ai pas encore eu de relation sérieuse jusqu’ici. Afin que je puisse en savoir davantage concernant le déroulement du travail, les coaches m’ont intégré à un groupe de filles. J’avais pour mission de faire des observations, mais bien votre que j’ai pu observer était nos beaux lolos et ces fesses d’enfer qu’il y avait autour de moi. Au lieu d’écouter les filles et de regarder leurs écrans, mes regards étaient plongés très loin dans leurs décolletés. Après la première journée, j’ai pu remarquer que ces filles essayaient toutes de m’allumer. Je ne sais nullement si c’est la chance du débutant, mais il ne m’a fallu qu’un mois pour dégoter mon premier . Pendant que je papotais tranquillement avec un client, Rità m’a filé un bout de papier avec le texto me demandant si j’avais quelque chose de prévu après le boulot. Certes, elle n’était pas celle que j’aurai choisie en premier, mais bon, si elle est partante, pourquoi guí¨re. Un coup sorti du labeur, on s’est rendu directement vers í§a. Ne savant pas quoi faire,